Cette Pleine Lune nous invite à faire le point entre nos prédictions et la réalité tout en nous mettant en action dans nos intériorités. S’ajuster, s’affiner de nouveau, toujours.
Commencer, continuer… de faire le tri entre le passé et l’avenir comme nous l’invite l’énergie d’hiver entre autres… Avec aisance et fluidité, regarder ce que nous laissons derrière. Rendre grâce dans l’Amour à toutes ces expériences vécues; puis regarder droit devant avec clarté à ce qui s’ouvre et s’offre à soi.
« L’Être humain apprend donc par ses expériences actives en faisant des prédictions. C’est lorsqu’il est attentif et engagé que son intelligence peut être surprise par un décalage entre sa projection et la réalité. Le cerveau réajuste alors ses connexions et ses probabilités. Lorsque nous ne sommes pas activement engagés, nous ne faisons pas de prédictions, et ne pouvons par conséquent pas les réajuster: pas ou peu d’apprentissages se réalisent. Des expériences montrent par exemple que des souris que l’on déplace dans un petit chariot au sein d’un labyrinthe pour leur montrer le bon chemin trouvent ensuite bien plus difficilement la sortie que des souris qui ont pu préalablement explorer l’espace et se tromper de nombreuses fois. Celles qui avaient été engagées de manière active dans le labyrinthe, avaient fait des prédictions et avaient appris – les autres non. » de Céline Alvarez, du livre « Les lois naturelles de l’enfant »
L’expression de soi par une communication claire et précise, par un « langage centré » (terme de Oriana-Brigitte Heydel) de Coeur à Coeur, en non violence, nous soutient à être présent et à vivre cette Pleine Lune avec facilité et ouverture.
Un ralentissement, la tempérance s’appellent afin d’ouvrir un espace de vide en soi; qui se remplit alors d’une clarté de pensée constructive et calme.
Cadeau pour cette Pleine Lune: Visualisation à s’offrir en ce temps:
« De votre Hara, faites descendre vos racines le long de vos jambes jusqu’à vos pieds, elles s’enfoncent dans la Terre, dans Gaïa. Elles descendent, passant par la nappe phréatique, l’eau; jusqu’au Coeur de Gaïa et se connectent alors au Coeur de la Terre. Respirer. Monter ensuite votre conscience, de nouveau à votre Hara et visualisez un arbre dont vous venez de faire descendre les racines. Cet arbre grandit, s’élève. Passe par votre Coeur et continue de grandir. Plusieurs de ses branches s’élèvent encore plus haut dans le Ciel, une s’en allant se connecter à la Lune, d’autres aux étoiles, et d’autres encore à d’autres astres… … … Respirer. Placez à présent votre conscience en votre Coeur. Contractez votre périnée, maintenez le et inspirez l’énergie de la Conscience Cosmique… qui remplit votre partie supérieure du Corps. Retenez le souffle de votre inspiration en comptant jusuq’à 4. Puis relachez votre périnée sur l’expir’… et l’énergie de la Conscience Cosmique traverse et descend votre partie inférieure du Corps et s’offre à Gaïa. Répéter 4 fois l’excercie de respiration. de Jaya Girard »
Quelle Beauté! En nous nourrissant, nous nourrissons aussi notre Mère Originelle, Gaïa!
A toutes et tous, belle et douce Lune,
Avec Coeur,
Jaya